[fic] bras droit de la Mafia
Par : joejojochba2
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
Publié le 27/01/09 à 16:24:05 par joejojochba2
Chapitre 5: Premier sang
Luigi nous réunit dans la salle à manger, mon pere Aldo et moi, je me sentais vraiment fort, je me sentais vraiment comme un homme, être au centre de conversations de grands du milieu, etre au centre des conversations des mecs qui rendent fous la police et les autre organisations criminelles.
-A la mort de Don Leandri, plusieurs de ses bastions ont été laissés à l'abandon, Il nous reste encore ses propiété en Corse et en Aveyron, mais d'autres se trouvent n Alsace et au Sud de Lille.Celui ci nous interesse.
-Expliquez s'il vous plait, répondis mon père, il semblait maintenant parfaitement intégré à la Famille, et s'etait fait à l'idée que le sort de centaines de personnes dépendait de lui.
-J'y vien siniore, un Bastion qui se trouve dans la banlieue Liloise à été laissé à l'abandon en 1954, à la mort de Don Leandri, Vito ne lui trouvant aucune utilité dans un endroit si éloigné du Sud, l'oublia, depuis, il est devenu une sorte de baisodrome, de squat, un immense local ou se retrouvent tous les echets et dealers de la banlieu Liloise, il faut le reprendre par la froce, cela fait bien longtemps que nous n'avons pas tenté de coup de force, nous risquons de passer aux oubliettes, il faut réveiller la Famiglia de la Cruz que le vieux Vito, en ayant perdu son panache, à laissé s'endormir, et comme dit le vieux proverbe, le plus puissant dragon endormi au fond de l'océan peut être manger par la plus petite des crevettes.l'endroit étant assez reculé, pres d'un bois, nous pouvons utiliser nos armes à feu sans crainte. Don, je vous laisse décider de la maniere, je vous conseillerai pour l'equipe.
Mon pere avait bu les paroles du consigliere et semblait tres occupé à réfléchir, soudain, il me regarda, il voulait mon avis, les 3 regards furent braqués sur moi, transpirant, je parlai d'une voix tremblante:
-Je...je pense qu'il faut donner un exemple, on en laisse un ou deux vivants afin qu'ils puissent annoncer notre grand retour.
-Mon pere réppliquat:
-tu as raison, nous utiliserons des gros calibres et des fusils d'assaut pour montrer notre force et notre niaque, est-ce que Michel pourrait nous avoir des uzis et autres mitrailleurs?
-Bien entendu, je lui passe la commande, combien en voulez vous?
-Il nous faut une douzainne d'hommes, équipez les de mitrailleurs et je les veux tous avec une arme de poing sur eux, peut importe le calibre, il y aura surement de la défense en face.
-tout sera pret dans qualques heures, comptes 3 heures maximum pour les details
-Parfait.
19h00, Trois heures pile poil apres le briefing, mon père revint avec 12 hommes, semblablement les meilleurs du clan, ainsi qu'avaec 2 sacs de sport, pleins d'armes à feu et de charcgeurs, avec Aldo, nous avions été chargés de surveiller les 2 fourgons de 6 places chacuns qu'ils nous faudrait.
En 3 heure, nous avions eu le temps de parler, sans secret car j'etais son "superieur" il m'apris qu'il avait été légionnaire, il était parti en Irak en 1991 puis mercenaire jusqu'en 1998 ou il avait rejoin le clan.
Il n'etait pas bavard, mais moi non plus, il lisait donc le journal tandis que je tripotais mon flingue sans m'en lasser, il était d'une beauté, tout chromé, la crosse en bois, il était magnifique, pas une trace dessus, il semblait sorti de l'usine.
L'equipe arrivat puis je leur serra tous la main, une bonne poignée de main peut en dire beaucoup sur un homme, il me serrerent tous la main me regardant dans les yeux, le poing ferme, c'etaient des hommes de confiance.
nous entrâmes dans les fourgons, je sorti d'un des sacs un uzi, pui pris 1 chargeur de rechange en plus de celui qui était dans l'arme, mon pere optat pour une mp5 modèle réduit et Aldo pris un MAC-50.
22h00, nous arrivâmes aux abords de Lille, la nuit était froide et noire, nous étions à environ 50m du squt, de la fumée et de la musique en sortait, l'ambiance semblait "enfumée"
nous nous préparames, cagoules, chargeurs, j'avais enlvé le costume pour des blousons et pantalons noirs, j'avais paur, mais je ne devais pas le montrer, j'avais 15 ans, ça jouait en ma défaveur, je devais leur prouver que j'etais un des leurs.
C'est alors que mon pere donnat le signal, nous avancions à pas de course discret, nous déployant à grande vitesse, j'etais à coté d'Aldo et d'un autre gars, Tony, un bon gars avec l'air sympa.
J'arrive à l'entrée, mon pere sort une grenade, il nous regarde et fait de l'humour :
-on va casser du tox les mecs
tous rirent, moi j'esquissait seulement un rictus, j'etais sous pression , j'allais faire mes preuves, j'allais tuer un voir des hommes...
Soudain il dégoupillat et jeta la grenade, quelques cris venaient de l'interieur puis une fort expolsion me souffla au visage
"GO GO GO!"
On y vas, je rentre et j'arrose presque tout ce qui bouge, sans toucher ma cible, il;y a un recul important, autours de moi, les corps tombent, cetains sortent des 9mm, mais sont rapidement tués, il y a deja une dizaine de corps par terre, l'un à la jambe arrachée à cause de la grenade
des coups de feu en rafale fusent à travers mes oreilles, j'essaye de tiere, mais une epaisse fumée s'installe et me pique les yeux, j'entends des cris des agonisants, la moitié des mecs sont défoncés et réalisent à peine la gravité de la situation.
je sans qu'on me touche le dos, je me retourne vivemant puis vois une loque humaine puant la merde me parler "sal fisse de pute va, jver te tuai" il sort un couteau, je lui tire une rafale dans le ventre, il est tout pres de moi et son sang meclabouse, il a le ventre sanguinolent et s'ecroule à mes pieds, moi je suis plein de sang je viens de tuer ce qui s'apparente à un homme.
Soudin, j'entend un cri, Tony se tennait le bras, un dealer viens de lui tirer dessus, il a un 38, des qu'il me voit, il me met en joue.
Sans avoir le temps de tirer, je le terrasse de 3 ou 4 balles dans le thorax, il s'effondre sur le dos, raide mort, je vais au secour de Tony "merci mon pote, j'te revaudrai ça mon gars".
Ca s'est calmé, il y a une vingtaine de cadavres par terre, et deux sont à genous, un seul à l'air conscient.
Mon pere sort son desert eagle puis abbat froidement 2 des hommes, puis il se penche vers le 3eme affolé, en lui chuchotant:
-Maintenant la Famille Leandri est de retour, va porter la nouvelles, et sache qu'on ne transforme pas un lieu qui nous appartient en barraque à crack en toute impunité.
Puis il le laisse partir "vas! vas dire que la Famiglia de la Cruz est de retour, et qu'elle va reprendre le controle de ses anciens térritoires, sinon je te retrouve, et j'explose ta tête de camé!"
en sortant, Tony se fait bander le bras par Giorgio, un ancien infirmier militaire, qui a combatu au Kosovo.
-Merci Joe, tu sais, au début je vais t'vouer qu'on te voyait comme un gamin de 15 berges, sans aucune experience, mais t'as fait tes preuves, aujourd'hui, t'es devenu un homme, tu m'as sauvé, t'as gagné ma loyauté à vie, tu est du clan, tu es notre chef, ton pere est notre Don, je vous prédit un long regne dans le milieu.
J'en avais des frissons, j'etais accépté, je n'etais plus un jeunôt de 15 ans bras droit juste grâce à son pere, j'etais un Mafioso...
Luigi nous réunit dans la salle à manger, mon pere Aldo et moi, je me sentais vraiment fort, je me sentais vraiment comme un homme, être au centre de conversations de grands du milieu, etre au centre des conversations des mecs qui rendent fous la police et les autre organisations criminelles.
-A la mort de Don Leandri, plusieurs de ses bastions ont été laissés à l'abandon, Il nous reste encore ses propiété en Corse et en Aveyron, mais d'autres se trouvent n Alsace et au Sud de Lille.Celui ci nous interesse.
-Expliquez s'il vous plait, répondis mon père, il semblait maintenant parfaitement intégré à la Famille, et s'etait fait à l'idée que le sort de centaines de personnes dépendait de lui.
-J'y vien siniore, un Bastion qui se trouve dans la banlieue Liloise à été laissé à l'abandon en 1954, à la mort de Don Leandri, Vito ne lui trouvant aucune utilité dans un endroit si éloigné du Sud, l'oublia, depuis, il est devenu une sorte de baisodrome, de squat, un immense local ou se retrouvent tous les echets et dealers de la banlieu Liloise, il faut le reprendre par la froce, cela fait bien longtemps que nous n'avons pas tenté de coup de force, nous risquons de passer aux oubliettes, il faut réveiller la Famiglia de la Cruz que le vieux Vito, en ayant perdu son panache, à laissé s'endormir, et comme dit le vieux proverbe, le plus puissant dragon endormi au fond de l'océan peut être manger par la plus petite des crevettes.l'endroit étant assez reculé, pres d'un bois, nous pouvons utiliser nos armes à feu sans crainte. Don, je vous laisse décider de la maniere, je vous conseillerai pour l'equipe.
Mon pere avait bu les paroles du consigliere et semblait tres occupé à réfléchir, soudain, il me regarda, il voulait mon avis, les 3 regards furent braqués sur moi, transpirant, je parlai d'une voix tremblante:
-Je...je pense qu'il faut donner un exemple, on en laisse un ou deux vivants afin qu'ils puissent annoncer notre grand retour.
-Mon pere réppliquat:
-tu as raison, nous utiliserons des gros calibres et des fusils d'assaut pour montrer notre force et notre niaque, est-ce que Michel pourrait nous avoir des uzis et autres mitrailleurs?
-Bien entendu, je lui passe la commande, combien en voulez vous?
-Il nous faut une douzainne d'hommes, équipez les de mitrailleurs et je les veux tous avec une arme de poing sur eux, peut importe le calibre, il y aura surement de la défense en face.
-tout sera pret dans qualques heures, comptes 3 heures maximum pour les details
-Parfait.
19h00, Trois heures pile poil apres le briefing, mon père revint avec 12 hommes, semblablement les meilleurs du clan, ainsi qu'avaec 2 sacs de sport, pleins d'armes à feu et de charcgeurs, avec Aldo, nous avions été chargés de surveiller les 2 fourgons de 6 places chacuns qu'ils nous faudrait.
En 3 heure, nous avions eu le temps de parler, sans secret car j'etais son "superieur" il m'apris qu'il avait été légionnaire, il était parti en Irak en 1991 puis mercenaire jusqu'en 1998 ou il avait rejoin le clan.
Il n'etait pas bavard, mais moi non plus, il lisait donc le journal tandis que je tripotais mon flingue sans m'en lasser, il était d'une beauté, tout chromé, la crosse en bois, il était magnifique, pas une trace dessus, il semblait sorti de l'usine.
L'equipe arrivat puis je leur serra tous la main, une bonne poignée de main peut en dire beaucoup sur un homme, il me serrerent tous la main me regardant dans les yeux, le poing ferme, c'etaient des hommes de confiance.
nous entrâmes dans les fourgons, je sorti d'un des sacs un uzi, pui pris 1 chargeur de rechange en plus de celui qui était dans l'arme, mon pere optat pour une mp5 modèle réduit et Aldo pris un MAC-50.
22h00, nous arrivâmes aux abords de Lille, la nuit était froide et noire, nous étions à environ 50m du squt, de la fumée et de la musique en sortait, l'ambiance semblait "enfumée"
nous nous préparames, cagoules, chargeurs, j'avais enlvé le costume pour des blousons et pantalons noirs, j'avais paur, mais je ne devais pas le montrer, j'avais 15 ans, ça jouait en ma défaveur, je devais leur prouver que j'etais un des leurs.
C'est alors que mon pere donnat le signal, nous avancions à pas de course discret, nous déployant à grande vitesse, j'etais à coté d'Aldo et d'un autre gars, Tony, un bon gars avec l'air sympa.
J'arrive à l'entrée, mon pere sort une grenade, il nous regarde et fait de l'humour :
-on va casser du tox les mecs
tous rirent, moi j'esquissait seulement un rictus, j'etais sous pression , j'allais faire mes preuves, j'allais tuer un voir des hommes...
Soudain il dégoupillat et jeta la grenade, quelques cris venaient de l'interieur puis une fort expolsion me souffla au visage
"GO GO GO!"
On y vas, je rentre et j'arrose presque tout ce qui bouge, sans toucher ma cible, il;y a un recul important, autours de moi, les corps tombent, cetains sortent des 9mm, mais sont rapidement tués, il y a deja une dizaine de corps par terre, l'un à la jambe arrachée à cause de la grenade
des coups de feu en rafale fusent à travers mes oreilles, j'essaye de tiere, mais une epaisse fumée s'installe et me pique les yeux, j'entends des cris des agonisants, la moitié des mecs sont défoncés et réalisent à peine la gravité de la situation.
je sans qu'on me touche le dos, je me retourne vivemant puis vois une loque humaine puant la merde me parler "sal fisse de pute va, jver te tuai" il sort un couteau, je lui tire une rafale dans le ventre, il est tout pres de moi et son sang meclabouse, il a le ventre sanguinolent et s'ecroule à mes pieds, moi je suis plein de sang je viens de tuer ce qui s'apparente à un homme.
Soudin, j'entend un cri, Tony se tennait le bras, un dealer viens de lui tirer dessus, il a un 38, des qu'il me voit, il me met en joue.
Sans avoir le temps de tirer, je le terrasse de 3 ou 4 balles dans le thorax, il s'effondre sur le dos, raide mort, je vais au secour de Tony "merci mon pote, j'te revaudrai ça mon gars".
Ca s'est calmé, il y a une vingtaine de cadavres par terre, et deux sont à genous, un seul à l'air conscient.
Mon pere sort son desert eagle puis abbat froidement 2 des hommes, puis il se penche vers le 3eme affolé, en lui chuchotant:
-Maintenant la Famille Leandri est de retour, va porter la nouvelles, et sache qu'on ne transforme pas un lieu qui nous appartient en barraque à crack en toute impunité.
Puis il le laisse partir "vas! vas dire que la Famiglia de la Cruz est de retour, et qu'elle va reprendre le controle de ses anciens térritoires, sinon je te retrouve, et j'explose ta tête de camé!"
en sortant, Tony se fait bander le bras par Giorgio, un ancien infirmier militaire, qui a combatu au Kosovo.
-Merci Joe, tu sais, au début je vais t'vouer qu'on te voyait comme un gamin de 15 berges, sans aucune experience, mais t'as fait tes preuves, aujourd'hui, t'es devenu un homme, tu m'as sauvé, t'as gagné ma loyauté à vie, tu est du clan, tu es notre chef, ton pere est notre Don, je vous prédit un long regne dans le milieu.
J'en avais des frissons, j'etais accépté, je n'etais plus un jeunôt de 15 ans bras droit juste grâce à son pere, j'etais un Mafioso...
28/01/09 à 09:43:08
Pareil, je trouve ça excellent...
Par contre c'est dommage que tu n'es pas plus de sentiments "humains", d'avoir peur de tuer, d'avoir des remords...
27/01/09 à 23:11:38
Excellent !
Bon scénario, mais trop de fautes d'innatentions et d'orthographes à mon gout. Tu devrais faire comme moi: Une première écriture sur un logiciel de traitement de texte + correction orthographique + copier + collé !
Je lis pas plus loin pour ce soir, mais je te dit chapeau, je pense que cette fic promet !
PS: Mets des smileys !
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